La formation professionnelle
est un levier indispensable pour le développement socio-économique d’Haïti.
Elle permet de doter les jeunes de compétences adaptées aux besoins du marché
du travail, de favoriser l’innovation et de stimuler l’entrepreneuriat.
Pourtant, le système haïtien reste marqué par des insuffisances structurelles,
une faible adéquation avec les réalités économiques et un déficit
d’opportunités pour les diplômés. Ce rapport identifie les principaux obstacles
à la performance de la formation professionnelle et propose des solutions
adaptées, inspirées de modèles internationaux réussis, afin de faire de
l’éducation technique et professionnelle un moteur de croissance inclusive et
durable.
PROBLÈMES CRUCIAUX IDENTIFIÉS
ü Faible qualité de l’enseignement et
inégalités d’accès.
ü Multiplication des redoublements et
absence d’harmonisation entre les filières.
ü Manque de ressources pour développer des
filières porteuses.
ü Migration des diplômés en raison de
perspectives limitées dans le pays.
ü Jeunes entrepreneurs sans soutien
financier ni dispositifs adaptés.
ü Faible culture de l’innovation et du
financement participatif.
ü Manque de stages et de passerelles vers
l’emploi.
ü Déconnexion persistante entre la formation
et les besoins du marché.
SOLUTIONS EXISTANTES ET
FAISABLES
RÉSULTATS OBSERVÉS À L’ÉTRANGER
RECOMMANDATIONS POUR HAÏTI
La réforme de la formation
professionnelle en Haïti est une étape cruciale pour bâtir un système éducatif
inclusif, adapté aux réalités économiques et générateur d’opportunités pour la
jeunesse. En s’inspirant de modèles régionaux et en adoptant une approche
intégrée, Haïti peut transformer la formation professionnelle en un outil
stratégique de lutte contre le chômage, de promotion de l’entrepreneuriat et de
croissance durable.
N.B. : Ce rapport est rédigé par Rival VALCIN, dans le cadre du Projet Tchala Devlopman porté par JobPaw.
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