Les investissements directs étrangers (IDE) constituent un levier stratégique pour stimuler la croissance, créer des emplois et intégrer un pays dans l’économie mondiale. En Haïti, leur potentiel reste largement sous-exploité en raison d’un environnement des affaires défavorable, d’une instabilité institutionnelle et d’infrastructures inadéquates. Ce rapport identifie les principaux obstacles qui freinent l’attraction des IDE et propose des solutions adaptées, inspirées d’expériences internationales, afin de transformer l’investissement étranger en moteur durable de développement économique et social.
PROBLÈMES CRUCIAUX IDENTIFIÉS
ü Cadre réglementaire complexe et lourd.
ü Corruption et manque de transparence.
ü Faiblesse de l’État de droit et insécurité.
ü Déficit en énergie, routes, ports et télécommunications.
ü Coûts logistiques élevés limitant la compétitivité.
ü Volatilité de la monnaie nationale et inflation.
ü Faible confiance des investisseurs étrangers.
ü Formation professionnelle insuffisante.
ü Déconnexion entre compétences disponibles et besoins des entreprises.
SOLUTIONS EXISTANTES ET FAISABLES
RÉSULTATS OBSERVÉS À L’ÉTRANGER
RECOMMANDATIONS POUR HAÏTI
L’attraction des investissements directs étrangers en Haïti dépend d’une transformation profonde de l’environnement des affaires, d’une amélioration des infrastructures et d’une stabilité institutionnelle renforcée. En s’inspirant de modèles internationaux et en adaptant les réformes au contexte local, Haïti peut mobiliser les IDE comme levier de croissance, de création d’emplois et d’intégration dans l’économie mondiale, contribuant ainsi à un développement durable et inclusif.
N.B. : Ce rapport est rédigé par Jean Daniel ELIE, dans le cadre du Projet Tchala Devlopman porté par JobPaw.
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