Haïti est l’un des pays les plus vulnérables aux aléas naturels dans la région caraïbe. Son exposition aux cyclones, séismes et inondations, combinée à la dégradation environnementale et à l’urbanisation anarchique, aggrave les vulnérabilités et multiplie les risques de désastre. L’absence de volonté politique, de cadre normatif et de culture de gestion des risques renforce l’insécurité et compromet le développement durable. Ce rapport identifie les principaux obstacles liés à la protection de l’environnement et à la gestion des risques, et propose des solutions adaptées, inspirées d’expériences internationales, afin de renforcer la résilience et la gouvernance en Haïti.
PROBLÈMES CRUCIAUX IDENTIFIÉS
ü Construction désordonnée et non-respect des normes environnementales.
ü Ignorance ou banalisation des risques par la population.
ü Manque de loi-cadre sur la gestion des risques.
ü Faible allocation budgétaire et coordination institutionnelle limitée.
ü Conflits d’acteurs et projets conjoncturels non durables.
ü Déforestation, destruction de la biodiversité et pertes massives en vies et biens.
ü Appauvrissement et instabilité socio-économique amplifiés par les catastrophes.
SOLUTIONS EXISTANTES ET FAISABLES
RÉSULTATS OBSERVÉS À L’ÉTRANGER
RECOMMANDATIONS POUR HAÏTI
La protection de l’environnement et la gestion des risques constituent des conditions préalables au développement durable en Haïti. En s’inspirant de modèles régionaux et en adoptant une approche intégrée, le pays peut réduire sa vulnérabilité, renforcer la résilience des communautés et assurer une gouvernance environnementale plus efficace. Le succès repose sur une volonté politique affirmée, une coordination institutionnelle renforcée et l’implication citoyenne dans la gestion des risques et la protection des ressources.
N.B. : Ce rapport est rédigé par le Dr Louis-Marc PIERRE, dans le cadre du Projet TchalaDevlopman porté par JobPaw.
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