Une administration publique
efficace et des finances publiques transparentes sont des piliers essentiels de
la gouvernance et du développement. En Haïti, la faiblesse de l’administration,
la mauvaise gestion des finances publiques et l’absence de redevabilité
limitent l’efficacité des politiques publiques et entretiennent la corruption.
Ce rapport vise à identifier les principaux freins au bon fonctionnement de
l’administration et à la gestion des finances publiques, et à proposer des
solutions adaptées, inspirées de modèles internationaux, afin de renforcer la
performance institutionnelle et restaurer la confiance citoyenne.
PROBLÈMES CRUCIAUX IDENTIFIÉS
ü Centralisation excessive et faible
autonomie locale.
ü Lourdeurs bureaucratiques, absence de
modernisation.
ü Manque de professionnalisme et de
continuité dans le service public.
ü Opacité dans l’allocation et l’exécution
budgétaire.
ü Faiblesse des mécanismes de contrôle
interne et externe.
ü Endettement croissant et faible
mobilisation des recettes fiscales.
ü Utilisation clientéliste des ressources
publiques.
ü Absence de transparence dans les marchés
publics.
ü Méfiance généralisée de la population
envers l’État.
SOLUTIONS EXISTANTES ET
FAISABLES
RÉSULTATS OBSERVÉS À L’ÉTRANGER
RECOMMANDATIONS POUR HAÏTI
La réforme de l’administration
et des finances publiques est une condition indispensable au développement
d’Haïti. En s’appuyant sur des modèles internationaux réussis et en adaptant
les solutions au contexte national, il est possible de construire une gouvernance
plus transparente, plus efficace et plus responsable. Le renforcement de la
performance institutionnelle et de la redevabilité de l’État permettra non
seulement d’améliorer la gestion des ressources publiques, mais aussi de
restaurer la confiance des citoyens et des partenaires au développement.
N.B. Ce rapport est rédigé par Rival VALCIN dans le cadre du Projet Tchala Devlopman, porté par JobPaw.
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