Comment je peux, entant qu’étudiant, contribuer à améliorer le fonctionnement de l’Ecole Supérieure d’Infotronique d’Haïti (ESIH) ?de farell Myrtil| JobPaw.com

Comment je peux, entant qu’étudiant, contribuer à améliorer le fonctionnement de l’Ecole Supérieure d’Infotronique d’Haïti (ESIH) ?


Comment je peux, entant qu’étudiant, contribuer à améliorer le fonctionnement de l’Ecole Supérieure d’Infotronique d’Haïti (ESIH) ?
Comment je peux, entant qu’étudiant, contribuer à améliorer le fonctionnement de l’Ecole Supérieure d’Infotronique d’Haïti (ESIH) ?

Présentation de l’ESIH :
Dans l’épitre et dans l’art d’éblouir, d’émerger et d’incrémenter le cerveau humain, l’apprentissage s’efforce de jouer le rôle de conquérant et de néant, visant dans notre cerveau de côtoyer la place du gérant. Un phénomène qui allume les bulles de savoir qui circulent dans les cellules de la vie. Dans cette même filière, l’ESIH (Ecole Supérieure d’Infotronique d’Haïti) déploie ses talents de donateur pour former et instruire des jeunes à l’apogée du savoir et de la technologie. Situé dans les hauteurs de la deuxième ruelle Nazon à Port-au-Prince. Une corpulence en reconstruction après son effondrement dû aux tristes larmes de notre chère Haïti tremblante jusqu’à s’effondrer. Accroché à sa vision de chercher, d’innover et d’entreprendre, l’ESIH, après avoir vu le jour en 1995, déploie ses forces pour se dépasser à chaque crépuscule.

Comment améliorer les relations entre étudiants et professeurs :
A chaque mère féroce, une faiblesse pour ses enfants, alors les visionnaires étudiants s’y voient dans l’obligation d’exhiber leur vision en vue de renforcer les griffes de leur puissante mère. Une vision héréditaire et amnésique jusqu’à se défouler dans la passion d’une plume. Une plume radieuse, qui tente à améliorer le fonctionnement de son université dans l’univers de l’écriture unis vers une puissante apogée. Tout bon fonctionnement réside la cohésion, la communication et le respect d’autrui. De ce fait, l’encre doit être versée avant tout pour combler les fissures dans la communication entre étudiants et professeurs. Le problème se pose, premièrement, dans la façon dont certains professeurs dispensent leur cours, qui, en ce qui a trait à l’attente des étudiants, ne parait pas rectiligne. Une attente qui tient à mettre l’accent sur le respect du programme académique et d’un examen qui lui soit approprié. Deuxièmement, dans la probabilité qu’un étudiant puisse contredire une attitude ou une norme déplaisante. Et troisièmement, dans la correction illicite des feuilles d’examens qui tente intentionnellement à plonger les étudiants dans l’enfer des examens de reprises taxés par un ticket du seigneur Hyppolite par matière, ce qui, pour les étudiants, semble faire le bonheur du capitalisme. Rien qu’un petit bonjour entre l’administration et les étudiants, couperait les griffes de quelques professeurs féroces et les dompterait par la logique et la juridiction de leur vraie mission. En ouvrant quelques portes de l’administration pour laisser entrer les doléances des étudiants, tous les murs se briseraient et la correction des examens de reprises ne serait plus dorée. Plus d’or et plus de mains d’œuvres, qui donc, les colons retourneraient chez eux et la paix régnerait au grand jour.

Comment améliorer les aspects physiques et administratifs de l’ESIH :
Sans communication, on frôle l’autodestruction même quand la concrétisation soit notre unique juridiction. Pour atteindre un but sans qu’il n’y ait la moindre confusion, il est nécessaire qu’on emprunte le même chemin. Un chemin qui s’avère suicide sans qu’il n’y ait partage d’idée. Dans cette atmosphère, l’administration de l’ESIH développe de temps à autre des structures et des règlements qui semblent obstruer académiquement la vision des étudiants. La contradiction se pose à l’idée que, si la demande de performance augmente, l’offre et l’opportunité d’être performant devrait être idem. La note de passage devient suicidaire en se penchant sur la méthode illicite des examens de tortures que réservent certains professeurs. Une note inférieure à soixante-cinq pour-cent et une moyenne inférieure à soixante-quinze pour-cent, en dépit des conditions académiques, c’est la métaphore de dire « Barricadons la porte de réussite ». Avec une tête inondée, la psyché des étudiants est incarcérée pendant que leurs corps sont à l’université. Un rectorat qui dépasse la science, car c’est une grande première d’examiner un sourd qui n’est pas muet. Parle sans arrêt pour dramatiser ses règlements, mais fait la sourde oreille en ce qui a trait à écouter les étudiants qui leur apportent une petite touche harmonieuse. Des règlements qui soulent dans un pays qui arme psychologiquement, et voilà toutes conditions sur table pour s’élancer dans une guerre hargneuse.
Affectés par le manque d’équipement nécessaire pour cribler le savoir, les étudiants dévoilent les dégoûts pour les mauvaises cuissons administratives dû à l’attente d’une montagne de promesse, qui, jamais, ne sera visible des yeux. Des promesses qui émerveillent les oreilles de façon à maintenir espoir pour subsister en enfer. « Je vous promets que l’année prochaine, l’enfer sera paradis car toutes les promesses vous feront honneur ». Une chanson à connaitre par cœur car elle se dit et se renouvelle chaque année. Un service internet performant, des salles et des laboratoires accueillants, des promesses qui redressent les têtes tout en restant myope dans l’univers des frais scolaires enchainés dans une boucle d’incrémentation. « x », « y » et « z » dans les cahiers des étudiants, sont remplacés par « administration », « étudiants » et « professeurs ». Une équation que les étudiants tentent de résoudre à chaque seconde même quand ils connaissent déjà la réponse.
Pour vaincre César, il faut implorer sa fierté. Une fierté qui ne dépende que de chaque étudiant concerné, et conscientisé du fait qu’ESIH soit leur chère mère à tous et à toute, car elle leur a allaités de savoir et de glamour, pour un jour, devenir ses époux dirigeants. Dans ce cas, il est important de lui tenir bras pour se relever de ses faiblesses qui sont connues par ses étudiants et qui peuvent être aussi traitées par ses étudiants. Rien qu’une simple implication personnelle de chaque étudiant dans les procédures internes, changerait le cours de l’histoire et décorait l’aspect physique et administratif de l’ESIH à un goût universel.

Comment améliorer le fonctionnement de l’ESIH :
Toutes performances demandent une certaine maintenance suivie d’amélioration. Dans cette même filière, les étudiants visionnent d’améliorer éthiquement les relations en séchant par des conseils les larmes physiques et administratives coulant des yeux de l’ESIH. Tout d’abord, l’administration se doit d’enlever les petits bouts de cotons hitlérismes qui bloquent l’accès à son tympan, sinon les plaintes feront toujours les enchères. Rediriger les professeurs à leur vraie mission qui est celle de partager du savoir et non de l'or. Amener le rectorat à travailler en profit des étudiants et non pas en profit de l'amertume. Rendre aux examens de reprises, sa juste valeur de seconde chance, et non pas un passage inévitable et couteux. Avoir un minimum de respect pour les étudiants, en ne les faisant pas marcher mais plutôt, en les laissant le droit de revendiquer et d’apporter une amélioration. Norme qui se dit, s’explique, et qui attende de prendre sa place sur le fauteuil administratif afin de travailler à l’amélioration du fonctionnement de l’ESIH.

Comment améliorer la performance académique de l’ESIH :
Sur le plan académique, l’ESIH tente de prendre l’ascenseur de la perfection chaque année, pendant que ses pieds se trouvent enchainés dans les escaliers de mésententes qui lui forcent à descendre à la case départ des contre-performances. Cette querelle se concentre dans l’insuffisance de conjoncture pour arriver à donner le maximum demandé. Tous étudiants visionnaires projettent d’avoir une moyenne de soixante-quinze pour-cent, mais tous succès nécessitent une certaine disposition et de méthode d’accès glorieuse. Un bon épanouissement des cours et une bonne disposition des équipements de travaux pratiques et de recherches, sont les grands nœuds de la chaine qui collent l’ESIH à la pesanteur. A force de se lancer dans les travaux de recherches, les étudiants se perdent, et c’est en se perdant qu’on finisse par se retrouver. Finir par retrouver le noyau de la performance académique, est une vraie carte dans la chasse au trésor intellectuel, mais l’unique clé pour ouvrir la boite psychique qui est la doléance des étudiants, est plongée dans l’abime des querelles. Ce ne serait plus la peine de présurer les étudiants à la performance si on leur donne les moyens nécessaires pour s’y émanciper, car l’excellence reste et demeure leur unique lumière. Mettre plutôt la pression sur certains professeurs, fournir les matériaux nécessaires pour s’exercer à une bonne compréhension de chaque cours, et disposer d’un calendrier efficient des examens de façon à prévenir et à laisser un espace de temps nécessaire pour une large préparation. Ne cherche pas à se dire domestique, ESIH, avec des aussi longues canines académiques, mais malgré tout, tu restes le seul lion de la jungle universitaire haïtienne.

Rubrique: Education
Auteur: farell Myrtil | farell.myrtil@yahoo.fr
Date: 22 Nov 2013
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