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Propos sur l'utilisation des combustibles fossiles.Dès l’homo habilis qui détenait son unique force musculaire, comme source d’énergies pour se déplacer, chasser, transporter, etc. Jusqu’à nous autres homme du XXIe siècle usagers de fusées et vaisseaux spatiales. Cet être infinie dans son intelligence, à inventer différentes types d’énergies dans sa quête constante de dominer de dominer la nature : L’énergie musculaire et mécanique produit par l’homme et les animaux a connu un passe glorieux, et jusqu'à très récemment dans l’évolution de l’humanité, il était préféré dans les sociétés esclavagistes au détriment des sources primaires. (Vent ; bois ; eau) De l’Egypte a la Grèce, de la Rome à St Domingue en dépit de la quasi nullité de leurs coûts de productivité Cependant on pouvait parler jusqu'à cette date d’énergie propre et renouvelable. Inversement, la tendance allait être bouleversée en Angleterre, avec la révolution industrielle, impliquant la production massive de biens pour écouler sur le marché international, comme prône la logique capitaliste qu’était dans son B.A.BA. Maîtrise de la mer, ainsi la conception de bateaux modernes, et puissants, s’avèrent capital. Par conséquent le palliatif était apporte : l’ouverture a l’ère des énergies fossiles. Dans une introduction au revue scientifique « Energie et Climat p.11 »Laurent Cohen retrace le parcours de cette énergie qui a révolutionné le monde dans son ensemble : « Le charbon employer au ΧVIIIè siècle en Angleterre en remplacement du bois dans l’alimentation des machines a vapeur[…] Le début du ХIXè siècle consacre l’avènement de la turbine a vapeur mobile et de grand progrès dans la métallurgie du fer .Le début du ХХè siècle correspond a l’essor de l’électricité , des moteurs électriques qui ont libéré les industries de la tyrannie du cantonnement géographiques et ont permis des modes de production plus souples et plus intensifs. Enfin le pétrole et le moteur a explosion ont apporte une plus grande mobilité individuelle et collectives.»Cependant cet énergie fossiles en brûlant, libèrent un gaz, le fameux Co2, responsable a 85% du réchauffement climatique lie aux activités humaines. Toutefois la consommation de ces énergies est corrélée avec le progrès économique a titre d’illustration les Etats-Unis pays le plus riche de la planète, fut le premier consommateur de pétrole avant la crise financière de 2009, soit une capacité de rejet de Co2 de 6 tonnes l’an par habitant. Dans cette course acharnée de croissance économique :les émissions de Co2 issues de la combustion d’énergies carbonées ,augmentent au rythme moyen de 300 millions de tonnes par an (IB) a un point tel qu’en plein signature du protocole de Rio, la convention UNFCC (United Frame Work Convention Climate Change) de 19992.Suivie de l’adoption en 19997 du protocole de Kyoto prévoyant une diminution de 5.2% des émissions de gaz a effet de serre .Les émissions au lieu d’être décroissantes comme prévues dans les différents protocoles, augmente de 3.4 milliards de tonnes entre 1990 a 2002, pourtant il a avait fallu cent vingt ans depuis le début de la révolution industrielle pour atteindre un niveau d’enlèvement de température correspondante. (Laurant Cohen 2006) Les pays industrialise avec le 1/6 de la population mondiale, consomment 66% des énergies de la planète, ne cède pas devant les l’évidence des rapports alarmants du GIEC et ceux des différents scientifiques comme S. Brundtland et celui de l’ancien vice président des USA l’écologiste Algore etc., démontrant le péril que coure l’humanité, occasionne par le train de vie vaniteuse que mènent les pays industrialises. Selon des calculs de l’organisation Redefining Progress, il faudrait aujourd’hui 4 à 5 planètes si toute la population mondiale, consommait comme un habitant des Etats-Unis. Indiscutablement cette énergie constitue le moteur de la croissance et, du développement. Cependant, le gaz libère l’hors de sa combustion a une capacité de cent ans de nuisance dans l’atmosphère, puisque la moitie des 28 Gtones libérée chaque année dans l’atmosphère y reste piégé a cause de l’incapacité des océans et celle des couvertures forestières qui sont de plus en plus menacées, donc incapable de régénérer l’air. Certains pays toutefois montre le concept de soutenabilité n’est pas utopique : qu’on peut concilier développement et réduction de Co2, c’est le cas de l’Allemagne de la Suède et du Royaume-Unis. Quand aux autres ils priorisent l’or noir, abondant bon marche, facilement exploitable, mais périssable, et pollueurs, au détriment des énergies renouvelables, abondant dans la nature, inexploité, propre dont sa coût d’exploitation faramineux. Afin que ces pays maintiennent leurs compétitivités sur le marché international. La spécialisation de l’économie rendue obligatoire, le commerce international, impliquant la chute de l’autosuffisance des économies autarciques. La sous traitante de certains produits manufacturiers, le développement du transport individuel, au détriment du transport en commun sont autant de manifestation d’une gestion mitigée d’une ressource naturelle, périssable et d’accélérer le processus de réchauffement climatique. Complice ; profiteur, ou opportuniste, nous restons ivre face à notre auto destruction et rions nos malheurs imminents. Rubrique: Divers Auteur: Odelin CASSEUS | Date: 28 Dec 2011 |
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